Un nouveau pas vers les transitions énergétiques durables : ENGIE inaugure la chaire AgroEnergies pour une agriculture durable aux côtés de la Fondation Institut Agro et de cinq autres mécènes.

Lundi 17 mars, Estibaliz Gonzalez Ferrer, directrice du Lab Crigen ENGIE Research & Innovation, le centre de recherche du groupe ENGIE mécène de cette initiative, a inauguré cette nouvelle chaire en compagnie d’Anne Prieur, cheffe du Lab Environnement & Société au Lab Crigen, d’Hélène POIRIER, directrice de l’Institut Agro Dijon, de Sophie Sadet-Bourgeteau, enseignante-chercheure à L'Institut Agro Dijon et titulaire de la chaire, et des cinq autres mécènes : ALLIANCE BFC, UNION DE COOPERATIVES AGRICOLES, EDF Renouvelables, Fondation AGIR Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, GRDF, Ombrea .

La chaire Chaire Agroénergies pour une agriculture durable, portée par l’Institut Agro Dijon, se consacre à l’étude des ressources agricoles pour développer des solutions énergétiques renouvelables et socialement acceptables, réduisant ainsi notre dépendance aux énergies fossiles. Elle associe l’Institut Agro Dijon et l’INRAE à un réseau d’entreprises de la filière énergie (méthanisation, agrivoltaïsme, agrocarburants) pour mener des actions communes en recherche, transfert de savoir et formation.

Grâce à l’expertise de chercheurs en agronomie, sciences sociales, sciences du sol et de l’élevage, la chaire AgroEnergies stimule et guide les pratiques agricoles vertueuses face aux changements climatiques et sociétaux. Ses recherches interdisciplinaires répondent aux grands défis socio-écologiques du secteur, préparant ainsi l’avenir de la filière. Elle favorise les échanges et synergies entre enseignants-chercheurs, étudiants de l’Institut Agro Dijon et acteurs de la filière énergies impliqués.

Les expertises du Lab Environnement & Société, ainsi que celles du Lab Biomasse, Biogaz & Déchets détenues au Lab Crigen, pourront être à la fois enrichies et mobilisées dans le cadre de ces échanges pour soutenir le développement des filières agroénergies.

Elisa GONVIN, animatrice la chaire AgroEnergies
Aline Grandidier, chargée de communication
Christophe Taragon, Président de la Fondation de l'Institut Agro
#AgroÉnergies #Durabilité #ENGIE #AgricultureDurable

Marinette Loisy, du Lab Computer Science & AI au Lab Crigen ENGIE Research & Innovation, vient d’être distinguée en tant que « Women in Data » par ENGIE Digital & IT.

Marinette est ingénieure de recherche confirmée au Lab Crigen et a d’abord développé « Predi Demand », une brique d’IA permettant de prédire les besoins énergétiques des réseaux de chauffage. Cette brique, composante essentielle au modèle opérationnel « Predity for Asset », a permis au projet d’être récompensé aux « One ENGIE Awards 2024 ».

« Le modèle que j’ai développé pour le compte de la GBU Local Energy Infrastructure et permettant l’obtention du « One ENGIE Awards 2024 », détaille les consommations des réseaux de chaleur pour chaque heure de la journée et sur les 15 prochains jours. C’est une vraie fierté pour moi de savoir qu’il est utilisé à l’international et qu’il permet de réaliser des économies conséquentes pour le groupe ENGIE, tout en respectant des objectifs de développement durable », ajoute Marinette avec une certaine satisfaction.

Après avoir obtenu un master 2 en techniques de décision en entreprise (axé sur la statistique et l'informatique) à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Marinette a rejoint le Groupe ENGIE en 2008, travaillant au Lab Crigen, le centre de recherche dédié à la transition énergétique du Groupe ENGIE. Elle a travaillé sur des projets variés et passionnants, dont la prévision de consommation de gaz pour optimiser la dimension des tuyaux. Elle a également collaboré avec le Lab Hydrogène sur des analyses de comportement de véhicules à hydrogène, avec le Lab Environnement & Société pour étudier la corrélation entre la météo et la présence de chauve-souris près des éoliennes, et avec le Lab Liquéfaction pour identifier les parcours des méthaniers minimisant la perte de GNL.

Marinette a également contribué à la détection des comportements annonciateurs de pannes sur des chaudières biomasse, en analysant les données de capteurs et les pannes recensées au fil des années, dans le but de réaliser une maintenance prédictive. En 2020, elle a obtenu un Certificat d’Études Spécialisées (CES) de « Data Scientist » de Télécom Paris. « Pour moi, ce diplôme de Data Scientist n'est qu’un terme à la mode pour qualifier tout ce qui est statistique, car dans mon esprit, je reste une statisticienne », aime-t-elle à faire remarquer. « Il est vrai que nous avons maintenant accès à des volumes de données de plus en plus importants et à de nouvelles techniques pour les utiliser, ce qui n’était pas le cas avant. Les données – la data, comme on l’appelle aujourd’hui – ont pris une importance cruciale », souligne-t-elle.

Katiela Rivera Chantal Alario

Marinette Loisy, du Lab Computer Science & AI au Lab Crigen ENGIE Research & Innovation, vient d’être distinguée en tant que « Women in Data » par ENGIE Digital & IT.

Marinette est ingénieure de recherche confirmée au Lab Crigen et a d’abord développé « Predi Demand », une brique d’IA permettant de prédire les besoins énergétiques des réseaux de chauffage. Cette brique, composante essentielle au modèle opérationnel « Predity for Asset », a permis au projet d’être récompensé aux « One ENGIE Awards 2024 ».

« Le modèle que j’ai développé pour le compte de la GBU Local Energy Infrastructure et permettant l’obtention du « One ENGIE Awards 2024 », détaille les consommations des réseaux de chaleur pour chaque heure de la journée et sur les 15 prochains jours. C’est une vraie fierté pour moi de savoir qu’il est utilisé à l’international et qu’il permet de réaliser des économies conséquentes pour le groupe ENGIE, tout en respectant des objectifs de développement durable », ajoute Marinette avec une certaine satisfaction.

Après avoir obtenu un master 2 en techniques de décision en entreprise (axé sur la statistique et l'informatique) à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Marinette a rejoint le Groupe ENGIE en 2008, travaillant au Lab Crigen, le centre de recherche dédié à la transition énergétique du Groupe ENGIE. Elle a travaillé sur des projets variés et passionnants, dont la prévision de consommation de gaz pour optimiser la dimension des tuyaux. Elle a également collaboré avec le Lab Hydrogène sur des analyses de comportement de véhicules à hydrogène, avec le Lab Environnement & Société pour étudier la corrélation entre la météo et la présence de chauve-souris près des éoliennes, et avec le Lab Liquéfaction pour identifier les parcours des méthaniers minimisant la perte de GNL.

Marinette a également contribué à la détection des comportements annonciateurs de pannes sur des chaudières biomasse, en analysant les données de capteurs et les pannes recensées au fil des années, dans le but de réaliser une maintenance prédictive. En 2020, elle a obtenu un Certificat d’Études Spécialisées (CES) de « Data Scientist » de Télécom Paris. « Pour moi, ce diplôme de Data Scientist n'est qu’un terme à la mode pour qualifier tout ce qui est statistique, car dans mon esprit, je reste une statisticienne », aime-t-elle à faire remarquer. « Il est vrai que nous avons maintenant accès à des volumes de données de plus en plus importants et à de nouvelles techniques pour les utiliser, ce qui n’était pas le cas avant. Les données – la data, comme on l’appelle aujourd’hui – ont pris une importance cruciale », souligne-t-elle.

Katiela Rivera Chantal Alario

Lors du 11e Congrès International sur le GNL, le Lab Liquéfaction présente une étude basée sur un cas concret.

Du 10 au 12 mars, Amsterdam a accueilli le 11e Congrès International sur le GNL (LNGCON) 2025. Jérôme Trompe, ingénieur de recherche auprès du Lab Liquéfaction au Lab Crigen ENGIE Research & Innovation, y a présenté une étude de cas remarquée : « Gestion des risques et planification dans les terminaux GNL à l'aide de la modélisation ».

« La présentation portait sur une étude réalisée en 2024 en utilisant LNG Master, relative à un évènement opératoire pour le compte d’un de nos partenaires », précise Jérôme Trompe. Développé par le Lab Crigen au sein du Lab Liquéfaction, ce logiciel permet de modéliser le comportement du GNL dans les terminaux. « Les conclusions de cette étude de cas soulignent les avantages de la modélisation pour optimiser la réponse opérationnelle du terminal en question », fait-il remarquer avec enthousiasme.

Ce congrès annuel est une plateforme essentielle pour la collaboration et l'échange de connaissances entre les représentants des majors du gaz, des EPC, des compagnies gazières locales, des transporteurs maritimes et routiers de GNL, des terminaux et installations portuaires, des fabricants d'équipements et des fournisseurs de services.

Cette année, les discussions ont porté sur des sujets clés tels que le marché du GNL dans la transition énergétique, le GNL comme carburant pour les transports, le développement de l'infrastructure de l'hydrogène, le potentiel de décarbonisation du bio-GNL et du GNL synthétique, les avancées technologiques, les stratégies commerciales et les prédictions futures pour le secteur du #GNL.

Le congrès s'est achevé par une visite de la première usine néerlandaise de #bioGNL opérée par Nordsol, offrant aux participants une occasion unique de découvrir l'avenir de l'énergie durable à travers plusieurs technologies innovantes.

Gaëlle Dubourg - Rémi Linotte - Hamza Filali - Audrey Hubert - BG Group

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